Le dérèglement climatique et ses conséquences sur l’environnement engendrent des inquiétudes que l’on regroupe sous le terme d’éco-anxiété. 2,5 millions de Français seraient atteints par ce mal-être qui touche toutes les tranches d’âge. Les entreprises peuvent intervenir en inscrivant cette nouvelle donne dans leur programme de prévention santé mais aussi pour ne pas devenir elles-mêmes un facteur aggravant.

Afin de faire face à la pénurie de talents, la prévention santé devient un levier puissant pour renforcer la marque employeur. En effet, les salariés attendent désormais de leur employeur que celui-ci favorise leur bien-être et leur santé au travail. À travers des campagnes et des actions axées sur la santé au sens large – le bien-être physique, mental et social - les entreprises peuvent agir concrètement sur la santé des salariés, mais aussi affirmer leurs valeurs, améliorer leur réputation et l’engagement des collaborateurs. 

Le management toxique peut s’incarner dans des comportements variant d’un individu à l’autre. Néanmoins, il a comme point commun de créer un climat délétère en entreprise et de faire vivre un enfer aux salariés qui y sont exposés. Si les véritables profils pervers sont fort heureusement rares, le manager toxique est souvent une personne qui agit par maladresse ou qui ne fait que décliner sur les équipes un environnement de travail difficile. Nous revenons dans cet article sur les signaux d’alerte et les moyens d’agir pour enrayer ce phénomène.

La semaine de 4 jours séduit de plus en plus les entreprises. Plusieurs pays d’Europe expérimentent ce mode de fonctionnement et commencent à en mesurer les bénéfices. Les premiers bilans sont positifs notamment sur la santé des salariés. Cependant, tout dépend de la manière dont les entreprises mettent en place ce temps de travail. Dans cet article, nous faisons le point sur cette tendance qui pourrait s’amplifier dans les années à venir.